J'écris

Voilà un truc que j'ai écrit, grosse déprime en perspective donc, je voudrais juste avoir votre avis, je l'ai pas mis dans 'Histoire d'amour", parce que ça n'a aucun rapport avec l'amour... C'est un peu plus court juste que ce que j'écris d'habitude.

La mort… Elle n’y avait jamais pensé avant, mais peu à peu, ce mot revenait sans cesse hanter ses pensées. Elle y pensait constamment, l’associait à chacune de ses pensées. La morts accidentelle, la mort naturelle, la mort provoquée par quelqu’un, mais surtout, surtout, la mort que l’on se donne volontairement soi-même, dans un excès de passion, de désespoir, d’envie, de rage. Elle n’y avait jamais pensé avant, mais à ce moment-là, elle avait vraiment envie de se donner la mort, elle en avait vraiment envie.
Elle sentait la pression monter en elle, comme une bouffée de rage, et elle regardait le poignard qu’elle tenait entre ses doigts. Ses mains devenaient moites, son cœur battait un peu plus fort, pourtant, elle ne tremblait pas. Elle ne comprenait pas tout à fait ce qu’elle allait faire, mais elle voulait le faire, il fallait qu’elle le fasse. Elle leva le long couteau, observant la lame étincelante et dans un cri de folie, se le planta en plein cœur. Une larme perla dans son œil et c’était terminé. Elle rendit son dernier soupir, puis elle s’effondra… morte…
Elle n’avait pas eu peur. Elle n’avait ressenti aucune joie. Elle s’était juste libérée, libérée de ce poids, le poids de la vie, où le désespoir a pris le dessus, consumant chacun de ses sourires, alourdissant chacun de ses gestes. Maintenant elle n’était plus rien, juste un souvenir. Un souvenir qui finirait par s’effacer, puis qui disparaîtrait à tout jamais. Sa souffrance n’était plus, évanouie en même temps qu’elle. Et son corps reposait là, étendu sur le sol, baignant dans une flaque de sang. Son visage avait retrouvé un semblant de joie, il paraissait apaisé, presque rayonnant.

C'est vraiment une belle histoire et je pense, ne m'en voulez pas, avoir voulu le faire a un moment donné de ma vie, lorsque je ne ressentais que douleur, peine, désespoire et souffrance en moi a chaque souffle que je fesaits endurer a mon corps!!! Mais maintenant avec un peu de repos et surtout,SURTOUT l'aide de mes amis , je pense que ce que j'ai voulu faire n'étais qu'une erreur!!!!

Merci

Ah, enfin quelqu'un qui poste un commentaire, même si c'était pas la réponse que j'attendais, mais , et tu sais, si t'atais pas là, moi je trismerais beaucoup beaucoup beaucoup, parce que moi je t'adore trop trop trop!!!

moi aussi je t'adore trop trop trop!!!!! et de rien pour la reponse

J'en posterai d'autres de mes petites histoires...

ohhh oui

Voilà, encore une petite histoire tout aussi gaie, désolée, encore un petit moment de déprime, surtout que je me faisait chier pendant le devoir commun de français, délire avec Audrey aussi.


Perchée sur un rocher en haut de la montagne, elle observait le paysage qui se dessinait en contrebas, sous ses yeux mystérieux. La campagne à perte de vue, des champs, et tout en bas, dans la vallée, un immense lac baignait les pieds d’un petit village montagnard. Le soleil presque couchant se reflétait à la surface de l’eau, le coupant en deux par une longue traînée argentée. Tout était magnifique, baigné d’une lumière dorée, rouge et orangé, et elle souriait. Elle était tellement bien ici… Elle se sentait libre, légère, et rien n’avait plus d’importance. Il y avait juste elle et l’immensité du monde, l’air si pur et le vent qui soulevait ses cheveux qu’elle avait détachés. Elle respira profondément et laissa ses pieds pendre dans le vide dans un balancement régulier. Tout était si calme, si beau, si agréable. Dans ces moments-là, elle pouvait réfléchir posément, profondément et autant qu’elle le souhaitait, personne ne venait la déranger ; en réalité, personne ne savait qu’elle venait ici. C’était son secret, mais elle ne connaissait personne avec qui partager ce secret. Elle avait toujours été très mystérieuse, elle n’aimait pas beaucoup parler, et les gens lui faisaient peur. Elle évitait les lieux surpeuplés, elle aimait trop la solitude à laquelle elle s’était habituée.
Elle pensait à sa vie, à ce qu’elle avait vécu, à ce qu’elle aurait pu vivre. Elle réalisait qu’elle avait beaucoup de regrets, sa vie avait été un désastre, un désastre plein de solitude. Mais elle n’aimait pas les gens, et ils ne l’aimaient pas non plus. Elle semblait étrange, elle faisait même peur parfois. Pourtant, elle n’était pas méchante, et elle était plutôt jolie, mais elle était mystérieuse, et ce mystère effrayait les autres. Une larme coula sur sa joue. Elle se détestait, elle s’était toujours détestée, et personne ne l’avait vraiment jamais aimée, sauf une fois… Une seule et unique fois. Lorsqu’elle avait dix neuf ans, elle avait rencontré un homme, ils avaient eu une aventure, il lui avait appris ce qu’était l’amour, elle pensait qu’il l’avait aimé. Elle l’avait aimé. Il était le seul homme qu’elle avait jamais aimé, mais il l’avait abandonnée, et maintenant, elle était perdue, encore plus qu’avant, et elle était triste. Elle avait cru à cet amour, leur amour, mais elle s’était voilé la face, elle s’était trompée, il l’avait trahie, blessée au plus profond d’elle-même, il lui avait brisé le cœur et il était parti, la laissant seule. Elle s’en voulait, elle pensait que tout était sa faute, mais il était le seul fautif, malheureusement, il n’était plus là, et elle n’avait pas d’amis pour le lui dire. Elle n’avait personne pour lui dire qu’elle n’y était pour rien, que c’était un salaud, qu’il avait profité d’elle, pour la rassurer, l’aider à remonter la pente. Et elle était là, assise en haut de ce rocher, elle pensait encore que c’était sa faute, et elle se détestait encore plus. Le visage baigné de larmes, elle poussa un dernier cri de désespoir et se laissa glisser dans le vide, c’était à présent son seul souhait, elle voulait retrouver sa liberté, et elle la trouverait seulement dans la mort. Elle tomba, tomba encore, elle ne pensait plus à rien, et son corps alla se briser sur les rochers qui se trouvaient en contrebas. Elle était enfin libérée, libérée de sa douloureuse vie.

c'est magnifique!!!

, juste un peu trash quoi...

tu m'étonne!!!mais tu sais c'est super beau ce que tu ecris !!!ou vas tu chercher l'inspiration???

Ze sais pas, ça vient tout seul, comme ça, des fois j'ai des idées, et ça fait ça...

c'est super!!continue comme sa et je peux te demander une petite faveure??

Bien sûr, tout ce que tu voudras, enfin, ça dépend quoi lol

non ne t'inqiete pas!!!je voudrai savoir, quand tu sera ecrivain ou poéte je ne sais pas tu pourra me faire des livres dédicasé car...voila quoi!!

Mais bien qûr que oui!!!!!!!!!!! Tous mes amis auront cette faveur, mais il faudra quand même acheter mes livres, que j'y gagne moi aussi.

oui oui sans pb

on les achetera et après on te les fera dédicacé

ouai tout a fait!!

:D :( Ca me fait tout drole...

qu'est ce qui te fait tout drole??

Que vous me disiez ça!

c'est parce que on croit en toi ma petite mélanie et aussi en ton talent!!!

C'est gentil.

c'est vrai!

Moi je suis pas encore convaincue!